Un lampemètre, une paire de contrôleurs, un oscillo, un variac plus quelques bricoles construites par moi même dans les temps jadis, ce n'est certes pas l'inventaire d'un laboratoire de remise en état digne d'un professionnel, mais comme je revendique mon statut d'amateur, ça tombe bien :)

Dans cette secction j'ai consigné quelques notes tirées de belles et bonnes galères, je me dis qie peut être cela pourra servir. Allez savoir ...

Pour ceux qui souhaiteraient se lancer dans la restauration d'un de ces curieux engins déniché dans le grenier du grand'père, j'ai consigné quelques notes permettant d'entamer le processus avec un minimum de risques. Toutefois je ne dirai rien sur les appareils dits "tous courants" du fait de leur dangerosité, ils ne sauraient être manipulés sans l'adjonction d'un INDISPENSABLE transformateur d'isolement, car leur châssis est relié directement qu secteur !

Pour commencer vos expérimentations, il vous faut, outre le petit outillage classique (tournevis divers, pinces, pince coupante...), quelques assistants pour électronique, à savoir un fer à souder de 60w minimum, un contrôleur à aiguille (analogique), un multimètre digital et (non indispensable mais si quand même) un injecteur de signal+ signal tracer et un générateur HF. Sans oublier ce qui pour moi est une évidence : un variateur de tension (VARIAC) permettant d'injecter une tension secteur entre 0 et 250v. Un peu de fil électrique et une ampoule à incandescence (+/-75w) complèteront astucieusement notre équipement de base.
Précision : si vous n'avez aucune notion d'électricité (à fortiori d'électronique) et si vous ne savez pas souder des composants, je vous déconseille fortement de vous lancer dans l'aventure, sauf à rejoindre un club ou une asso après desquels vous trouverez les bases minimales indispensables et, croyez moi, ça en vaut la peine !

Maintenant, avant de faire chauffer votre fer à souder, commencez par lire ces quelques notes, rédigées à partir de mes expériences... et de mes déconvenues !